La star de 46 ans est à l’affiche de la série Cops Who Kill With Will Mellor, qui débute ce soir (6 mars) sur Crime + Investigation et dont la série complète sera ensuite diffusée sur la plateforme de streaming de la chaîne, Crime+Investigation Play. Comme son titre l’indique, le programme s’intéresse aux policiers véreux qui ont commis des crimes odieux. Le premier épisode se penchera sur la mort de Sarah Everard, cadre en marketing, qui a été violée et assassinée par le policier en service Wayne Couzens en 2021.
Everard a été arrêtée sous de faux prétextes et kidnappée par Couzens avant qu’il ne l’agresse sexuellement et ne la tue.
La série débute alors que Couzens a été condamné à 19 mois de prison pour s’être exhibé à trois reprises, l’un des incidents ayant eu lieu quelques jours avant le meurtre d’Everard.
La nouvelle peine s’ajoutera à la condamnation à vie de Couzens pour le meurtre d’Everard, ce qui signifie déjà qu’il ne sera jamais libéré de prison.
Will a été profondément affecté par toutes ces affaires et en particulier par la mort d’Everard.
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Pendant la série, Will a admis qu’il s’est senti mal au moment où il a regardé les images de la caméra montrant Everard monter à l’arrière de la voiture de Couzens, sachant que son statut d’officier de police était la seule raison pour laquelle elle s’était pliée à ses ordres.
Il a parlé de la difficulté de faire l’émission, disant qu’il y avait plusieurs moments qui se sont avérés difficiles étant donné le contenu troublant.
Will a dit : « Il y a eu des histoires poignantes. Karl Bluestone parce qu’il a aussi assassiné ses enfants avec un marteau et ça m’a marqué. »
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Il poursuit : « Parce que j’ai des enfants, j’essaie juste de penser à celui-là, l’état d’esprit de tuer ses enfants.
« Il était au pub une heure avant avec des amis et ils n’ont vu aucun signe.
« Ça me laisse perplexe sur ce qui se passe dans la tête de quelqu’un. Horrible.
« Mais aussi avec l’affaire Sarah Everard, ça m’a traversé l’esprit au moment où elle a réalisé que quelque chose n’allait pas quand elle est montée à l’arrière de sa voiture et qu’elle avait des menottes dans le dos.
« Il y a dû y avoir un moment où elle a réalisé, ‘Il y a quelque chose qui ne va pas ici’.
« Et elle ne pouvait pas se défendre et nous savons tous ce qu’il lui a fait et elle n’avait aucun moyen de se défendre. »
Ajoutant : « Un monstre absolu et ça m’est resté en tête. C’est juste absolument horrible. »
Will espère que la série suscitera un dialogue sur ces individus, mais aussi sur les leçons à tirer de ces crimes déchirants.
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Il a dit : « J’ai été choqué par certaines de ces affaires, je ne les connaissais pas toutes. Je connaissais évidemment l’affaire Wayne Couzens et Sarah Everard, mais pas autant que lorsque j’ai commencé à lire et à réaliser la série. »
Will poursuit : « Je veux utiliser cette série pour essayer de souligner que oui, ces choses se sont produites, mais qu’est-ce que nous en avons appris et comment pouvons-nous empêcher que cela ne se reproduise.
« Il y a des cas écoeurants et l’affaire Sarah Everard était horrible parce que s’il n’avait pas été un officier de police, elle ne serait pas montée dans sa voiture et c’est l’abus de confiance et de pouvoir. »
Parmi les officiers de police présentés dans la série figurent Keith Farquharson, Darren Mckie et Steven Jones, entre autres.
Will voulait mettre en évidence le fait que la grande majorité des officiers de police voulaient servir la communauté et que ce n’était qu’une poignée de « mauvais élèves » qui commettaient ces crimes.
Au lieu de creuser le fossé entre le public et la police, il a dit qu’il voulait que la série soulève ces questions et s’assure que des leçons soient tirées de ces tragédies.
Cops Who Kill With Will Mellor débute sur Crime + Investigation le lundi 6 mars à 22 heures et sur Crime+Investigation PLAY le 7 mars.
