Souffrant de succotash, Anthony DeSclafani ! Le lanceur des San Francisco Giants a subi l’une des blessures les plus obscures que vous entendrez jamais.
Il n’y a pas de quoi rire des blessures, mais celle-ci est un peu drôle. Anthony DeSclafani, lanceur des Giants de San Francisco, a joué cinq manches hier contre les Diamondbacks de l’Arizona. Il a permis trois points sur cinq coups sûrs tout en retirant deux frappeurs. Il a été relevé après avoir permis trois coups sûrs consécutifs au début de la sixième manche.
Mais ce n’est pas la ligne de statistiques de DeSclafani qui retient l’attention après la défaite 7-2 de San Francisco aux mains des D-Backs samedi. C’est plutôt l’étrange raison de la sortie prématurée de DeSclafani qui retient l’attention.
Le lanceur des SF Giants souffre d’une blessure qui le fait ressembler à un personnage de Bugs Bunny
Le droitier n’a effectué que 77 lancers, mais après un simple, un double et un autre simple au début de la sixième manche, le manager des Giants, Gabe Kapler, est venu sur le monticule et a levé son lanceur.
La décision de Kapler n’était pas nécessairement due à la performance, mais plutôt à une blessure apparente dont il avait souffert il y a quelques semaines. Non, il ne s’agissait pas d’une élongation du coude droit ou même de quelque chose d’aussi simple que des crampes.
Selon Maria I. Guardado de MLB.comDeSclafani a fait tomber un banc de piano sur son orteil il y a quelques semaines. Apparemment, il s’agissait du gros orteil de son pied gauche. DeSclafani jouait du piano avec son fils et s’est blessé en essayant d’aider son fils à descendre du banc de piano. Cela ne s’invente pas.
On dirait une histoire sortie tout droit d’un dessin animé de Bugs Bunny. Pour ceux qui ont 25 ans ou moins, il s’agit d’un programme télévisé que nous regardions tous le samedi matin lorsque nous étions enfants.
Anthony DeSclafani n’est pas étranger aux blessures. Le droitier a subi sa part de blessures tout au long de sa carrière. Mais cette fois-ci, c’est le pompon. C’est à se demander si Gabe Kapler s’est dit » C’est tout, les gars ! » avant de se tourner vers son bullpen samedi après-midi.