Sarah Ferguson a dénoncé les « révoltants » cyberbulleurs qui s’en prennent à la famille royale. La duchesse d’York, qui a évoqué avec franchise son propre combat contre les tabloïds dans les années 90, estime que les choses sont plus difficiles pour les jeunes membres de la famille royale aujourd’hui. Fergie, mariée au prince Andrew de 1986 à 1996, s’est entretenue avec Sherri Shepherd sur ET Canada, alors qu’elle faisait la promotion de son nouveau livre A Most Intriguing Lady.
Mère des princesses Beatrice et Eugenie, Fergie, 63 ans, a déclaré que chaque génération endure une période plus intense de surveillance publique.
Shepherd a déclaré : « Duchesse, vous avez été affiliée à la famille royale pendant des années et vous en avez fait partie. Elle est scrutée depuis si longtemps.
« Même le prince Harry a écrit un livre sur son appartenance à la famille royale et sur sa santé mentale. Pensez-vous qu’à chaque génération, c’est de plus en plus difficile pour la famille royale ? »
Faisant référence à la mère de Harry, la défunte princesse Diana, Fergie a répondu : « Diana et moi… c’était vraiment mauvais. Vraiment mauvais.
« Tout était imprimé. Et il n’y avait pas de médias sociaux. Vous n’aviez donc pas le droit de répondre.
« La situation n’est pas pire, elle est toujours aussi grave, mais vous pouvez maintenant répondre. Mais ensuite, il y a le trolling, la cyberintimidation.
« C’est une cyberintimidation révoltante. Ils s’assoient là et disent, ‘Oh ouais, elle est grosse aujourd’hui. Oh oui, elle est rousse et laide aujourd’hui ».
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Lorsqu’on lui a demandé si elle souhaitait répondre aux trolls, Sarah a répondu que ce chemin semé d’embûches ne ferait que susciter davantage de questions et d’attaques.
Dans une interview séparée, Fergie a parlé au Telegraph de sa décision de déménager aux Etats-Unis dix ans après sa séparation « amicale » avec Andrew, dont elle reste proche.
Fergie a déclaré qu’elle pouvait « comprendre » pourquoi Harry avait choisi de s’installer aux États-Unis après avoir quitté ses fonctions royales en 2020.
« Je ne peux pas parler au nom de [Harry]. Mais je peux dire qu’après mon divorce, j’ai passé 12 ans en Amérique, à écrire des livres, et c’était un endroit merveilleux pour moi. Je m’y suis sentie libre », a-t-elle révélé.
Lorsqu’on lui demande son avis sur Meghan Markle, Fergie répond qu’elle « ne sait pas vraiment » car elle ne l’a pas « vraiment rencontrée », mais insiste sur le fait que Harry est « très heureux ».
Lorsqu’on lui a demandé si l’ancienne actrice de Suits avait « endommagé » la famille royale, Fergie a répondu : « Ce n’est absolument pas à moi de répondre à cette question ».
Elle a ajouté : « Elle a rendu Harry très heureux, et c’est tellement agréable. Honnêtement, il est très heureux avec elle.
« Elle l’aime vraiment. Et je pense que c’est magnifique – et que Diana serait fière de lui et de ses adorables petits-enfants ».
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